COMME EN 2007,NOUS Y CROYONS TOUJOURS.

Posté par idy012 le 29 septembre 2010

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SAY IT LOUD AGAIN MISTER PRESIDENT.

Résumé de ce son programme de 2007 :

« • sur le plan stratégique, nous n’avons pas les mêmes priorités. Face à ses grands chantiers « éléphants blancs », les miens portent sur la fin du drame des 136.000 bébés sénégalais de moins de cinq ans qui meurent chaque année de malnutrition, de malaria et de déficit de vaccinations, des 125.000 enfants scolarisables qui ne verront jamais de salles de classe, même en sureffectif, faute d’infrastructures scolaires suffisantes, et du cruel drame de nos jeunes compatriotes se suicidant dans l’Océan Atlantique à l’assaut d’un hypothétique paradis européen, faute d’emplois décents chez eux. Nos priorités incluent de relever substantiellement le taux anormalement bas de 4,9% de la population scolarisée qui sort du supérieur avec un diplôme. Nos foyers privés de gaz, d’électricité et d’eau ainsi que les stations d’essence prises d’assaut par des automobilistes anxieux de leur approvisionnement en carburant exigent plus d’attention que la nouvelle capitale ou le train à grand écartement Dakar-Mombassa.

• sur le plan politique, nous ne partageons ni la même vision du changement dont il a altéré l’esprit, ni la même perception de l’Etat qu’il a achevé de décrédibiliser;

• sur le plan éthique, je n’approuve pas sa manière brutale et anti-démocratique de trancher les différends au moyen de l’agression, de l’embastillement et de l’exclusion. J’approuve encore moins sa gestion familiale des ressources nationales.

Ceci me libère de tout engagement moral envers lui. Mon seul engagement indéfectible demeure celui que j’ai envers le Très Miséricordieux et envers mon paysDans le cadre du dialogue que j’entends mener avec vous, de façon fragmentée et graduelle
Je commence par les Institutions parce qu’elles sont le socle de la communauté nationale. Elles constituent le fondement de l’édifice étatique. Ce sont les Institutions qui structurent le pouvoir, gèrent les intérêts supérieurs de la nation, fixent les règles imposées aux citoyens, garantissent la satisfaction de l’intérêt général et reflètent l’image de notre pays à l’intérieur comme à l’extérieur du territoire national.

La crise que traverse aujourd’hui le Sénégal est essentiellement une crise des institutions. L’incarnation du pouvoir dans notre pays n’a jamais été autant banalisée, avec un président de la République démythifié, un parlement réduit à voter des lois décriées (loi Ezzan, suppression du quart bloquant, prorogation du mandat des députés…), une justice décrédibilisée, transformée en un instrument de règlement de comptes politiques. Signe de la décadence, la perte de prestige de la fonction ministérielle. Certains ministres, spécialisés dans l’insulte publique, ont achevé de faire basculer le pouvoir dans le vulgaire et le grotesque.

La première tâche du prochain président du Sénégal consiste à relever l’Etat aujourd’hui totalement à genoux. Pour ce faire, il faut d’abord commencer par ressusciter l’idée même d’Etat. L’Etat n’est pas la propriété d’un individu, de sa famille, ou de son parti. L’Etat est doté d’une personnalité propre, incarnation de la nation, et garant de l’intérêt général. Il a ses biens, ses droits, ses obligations qui ne sauraient être confondus avec ceux de ceux qui exercent temporairement le pouvoir. Son personnel, encadré par l’administration territoriale, doit le servir sous la seule autorité de la Loi. A cet égard, il me plait de rappeler aux gouverneurs, préfets et sous- préfets, qui se sont comportés lors de la constitution des listes des partis politiques, en représentants non pas du Chef de l’Etat mais du Secrétaire général du PDS, qu’ils ont souillé la dignité républicaine attachée à leur charge. Leur implication personnelle dans des opérations d’intimidation d’élus locaux ayant choisi d’autres coalitions que celle au pouvoir n’honore pas la République. Et je les tiens personnellement responsables de cette grave déviance.

La première réforme que j’entends mener, si vous m’accordez votre confiance, c’est de dégraisser l’institution du président de la République. L’ère du Léviathan est révolue, comme est mort Thomas Hobbes. Le Sénégal a besoin d’un Président qui rassure, suscite et impulse, et non d’un démiurge qui vampirise tous les pouvoirs et possède un droit de vie et de mort sur les citoyens. Afin que l’homme-président, tiré de la terre, cesse d’inspirer l’effroi et garde en mémoire cet avertissement des Psaumes : « Ils ne vivront pas toujours. Ils n’éviteront pas la vue de la fosse. Car ils la verront : les sages meurent. L’insensé et le stupide périssent également. Et ils laissent à d’autres leurs biens. Il aura beau s’estimer heureux pendant sa vie. On aura beau s’estimer heureux pendant sa vie. On aura beau te louer des jouissances que tu te donnes. Tu iras néanmoins au séjour de tes pères. Qui jamais ne reverront la lumière »

Ce qui se passe aujourd’hui est à la fois une aberration démocratique et une hérésie politique.

« Tout homme qui a du pouvoir est tenté d’en abuser », disait le Baron de Montesquieu. Pour éviter les abus, il faut nécessairement un dispositif institutionnel dans lequel le pouvoir limite le pouvoir, le pouvoir arrête le pouvoir. Il faut donc réhabiliter la séparation des pouvoirs.

La séparation des pouvoirs doit commencer à l’intérieur de l’Exécutif. Le Président de la République exerce ses tâches naturelles, les missions de souveraineté : définition de la politique de la nation, défense du territoire national, conduite de la diplomatie, garantie de la sécurité… Il revient à un Premier ministre, nommé par le Président de la République, de mettre en œuvre cette politique, en toute autonomie, sous le contrôle du Parlement et de veiller en particulier à l’égalité des chances des citoyens. Ce Parlement va cesser d’être une chambre d’enregistrement pour reprendre sa place de gardien de la volonté du peuple sénégalais. Le Premier ministre va répondre à toutes les sollicitations des députés qui peuvent le démettre sur la base de la procédure de la question de confiance.

Il sera mis fin à l’inflation de ministres qui ne devront pas dépasser 20. Avec des responsabilités organisées autour de quelques grands pôles :

1. fournir à chaque citoyen les intrants nécessaires à son propre développement : un environnement sain, une alimentation équilibrée et suffisante, une bonne santé, une saine pratique du sport, un grand savoir, une forte culture. Ce sera le rôle d’un grand ministère de l’Alimentation incluant l’agriculture, l’élevage, la pêche et l’environnement, d’un grand ministère de la Santé incluant le sport, d’un grand ministère du Savoir incluant l’éducation, la formation professionnelle et la culture.

2. Donner à notre économie, l’encadrement cohérent qu’exigent la modernité et la compétition mondiale. Dans ce cadre, le ministère de l’Economie et des Finances aura en charge la responsabilité de la politique industrielle, en vue d’un meilleur arbitrage entre les objectifs de recettes et ceux d’investissement. Il aura également en charge la formulation et la conduite de la politique commerciale qui sera une priorité au regard du fait que le potentiel de croissance du Sénégal se situe surtout au niveau de la demande extérieure.

3. La politique de sécurité nationale exige que soit renforcée la synergie entre toutes les Forces pouvant aider à la sécurité intérieure (Police, Gendarmerie, Eaux et Forêts) et extérieure (Armée et Douanes).

4. La prise en charge adéquate des problèmes de nos compatriotes vivant à l’extérieur et du renforcement de la place du Sénégal dans l’UEMOA, la CEDEAO, l’Union Africaine, et les Nations Unies nécessite que les moyens du ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur soient renforcés et plus judicieusement distribués, en lieu et place des dépenses de prestige sans rapport avec nos besoins et nos moyens.

5. Une politique de tourisme hardie visant à augmenter la dépense moyenne du touriste, les emplois générés par le secteur ainsi que le rayonnement de notre culture dans le monde m’amène à élever le secteur au rang de ministère d’Etat. Afin que les Sénégalais connaissent mieux leur pays, une politique de promotion du tourisme intérieur sera mise en œuvre notamment à travers des tarifs préférentiels pour les nationaux sur tous les sites.

La représentation nationale va être davantage impliquée dans l’initiative des lois.

Le Judiciaire, gardien des libertés, va cesser d’être une Autorité pour devenir un véritable Pouvoir. Pour ce faire, il est essentiel de couper le cordon ombilical qui le lie à l’Exécutif. Comme dans beaucoup de grandes démocraties, le lien de subordination entre le ministère de la Justice et le Parquet va être rompu. Il revient au seul procureur, en son âme et conscience, d’apprécier la suite à donner aux poursuites. Notre pays a subi suffisamment de dégâts par la faute du système actuel, dans lequel un président de la République ou son ministre de la Justice peuvent, pour accomplir leur dessein propre, exiger du Parquet la poursuite d’un opposant politique, d’un journaliste, d’un concurrent commercial…

Pour renforcer l’indépendance de la justice, bien mise à mal ces dernières années, je propose d’améliorer ses conditions de travail. Mais également, d’augmenter le pouvoir des magistrats au sein du Conseil Supérieur de la Magistrature. Seuls les magistrats habilités doivent prendre part aux réunions de cette structure et voter pour en arrêter les décisions (gestion des carrières, application de la discipline, organisation du travail des Cours et Tribunaux…).

De même, en matière économique, tous les corps de contrôle de l’Etat doivent être déconnectés de toute influence de la présidence de la République. Il faut que l’Inspection Générale d’Etat quitte le Palais et se libère de sa tutelle. L’affaire des chantiers de Thiès a fini de convaincre, même les plus sceptiques, jusqu’à quel point un président de la République pouvait peser sur le travail d’investigation d’un inspecteur général d’Etat, également son subordonné.

L’Inspection Générale d’Etat, la Cour des Comptes et la Commission de Contrôle et de Vérification des Comptes des Etablissements Publics seront unifiées et rattachées à une Commission Nationale Indépendante de Lutte contre la Corruption et la Concussion, dont les membres devront se prévaloir d’une probité morale avérée et seront choisis au terme de leur audition publique par la Commission des Finances de l’Assemblée Nationale.

La Presse, le quatrième pouvoir, doit avoir la place qui lui revient de droit dans nos institutions. Je m’engage, si je suis élu, à créer une Haute autorité de la presse et de l’audiovisuel (HAPA) dotée des moyens financiers et logistiques nécessaires pour pouvoir exercer les missions suivantes : assurer la formation continue des journalistes, garantir le respect de la déontologie, délivrer la carte de presse, recueillir et traiter les plaintes contre les journalistes, répartir équitablement l’aide à la presse, libéraliser totalement l’audiovisuel, accorder les licences d’exploitation de télévisions et de radios privées, veiller à la présence de toutes les sensibilités politiques dans les médias d’Etat… La HAPA est une structure paritaire comprenant notamment des représentants de l’Etat et des organisations de journalistes.

Toutes les infractions liées à l’exercice de la profession vont être dépénalisées, à l’exception des délits de droit commun. Aucun journaliste ne sera plus convoqué à la Division des Investigations Criminelles (DIC) ni emprisonné pour ses opinions ou ses articles.

Quant à la Société Civile, elle continuera à jouer son rôle, mais sera associée à la chose publique pour être mieux à même d’exercer sa mission de contrôle. Un Observatoire National des Droits de l’Homme et de la Bonne Gouvernance va être créé. Reconnue par nos lois, cette structure composée de membres choisis par les organisations de la société civile, pourra interpeller le gouvernement par des questions auxquelles celui-ci est tenu de répondre, lui soumettre des propositions pour l’aider à améliorer son action. L’Observatoire peut également se pourvoir devant les tribunaux s’il estime, dans des cas précis, que les droits de l’homme ou les règles de la bonne gouvernance sont violés.

Tout l’édifice démocratique à bâtir ne peut tenir sans un changement des mentalités pour accompagner les réformes institutionnelles.

Pour y arriver, il faut commencer par le renforcement des capacités de deux corps de métiers dans le domaine des libertés publiques et des droits de l’homme : la police et l’administration pénitentiaire. Sur le budget de l’Etat ou avec l’apport de nos partenaires en développement, nos magistrats et professeurs d’université vont renforcer la formation de nos policiers et surveillants de prison à des idées simples : « l’être humain est revêtu d’une éminente dignité », « la liberté est le principe et sa restriction, l’exception », « l’intégrité physique et morale de tout être est sacrée »…

Les institutions sont abstraites. Leur performance dépend de l’action des êtres humains qui les animent. D’où l’importance du choix des hommes et des femmes suivant la règle : « l’homme qu’il faut à la place qui convient ». Nos meilleurs magistrats, mutés ou mis au placard ces dernières années pour avoir refusé de se démarquer de l’application de la loi, vont retrouver la place qui leur revient dans l’organigramme de la justice.

N’importe qui ne doit pas être Premier ministre ni ministre. Il y va de la respectabilité et de l’efficacité de l’Etat. Des Sénégalais de l’intérieur et de la diaspora, issus de l’administration ou du privé, compétents et respectables, vont être choisis pour exercer les plus hautes fonctions étatiques. Dans ce cadre un certain nombre de Directions centrales feront l’objet d’appel à candidatures.

En ce qui concerne la décentralisation, je m’engage à donner plus de pouvoir aux élus et aux exécutifs locaux (Présidents de région, Maires et Présidents de Conseil ruraux). Il s’agit notamment de mettre en place une fiscalité locale apte à générer des ressources additionnelles aux collectivités locales afin que les transferts de compétence se fassent concomitamment aux transferts de ressources.

En ce qui concerne les communautés rurales, le Président du Conseil rural sera officier d’Etat Civil Principal dans sa circonscription à l’instar du Maire : ces Présidents du Conseil rural, compte tenu de l’étendue de leur terroir et des faibles ressources de leurs budgets seront dotés de véhicules de fonction afin de leur permettre d’effectuer leur mission dans de meilleures conditions ».

 LE PRESIDENT DU VRAI CHANGEMENT

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POURVU QUE CA DURE!

Posté par idy012 le 14 septembre 2010

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Ca semble enfin bouger! Et l’on attend que ça bouge davantage !

A dix-huit mois des joutes électorales majeures ( PRESIDENDIELLES DE 2012), idy ne peut se permettre d’attendre. 

Attendre QUI et QUOI Vous avez suffisamment prouvé à la face des sénégalais et du monde entier ,qu’en dehors de votre modeste personne (Abdoulaye WADE hors-jeu), il n’existe pas au sein de l’Alliance Sopi pour Toujours ( A.S.T) un leader pour conduire vers le triomphe libéral. 

J’approuve parfaitement votre refus à occuper le poste de Ministre d’Etat auprès de Chef de l’Etat car ayant déjà occupé le poste suprême dans la nomenclature gouvernementale. 

A mon avis, qui est d’ailleurs celui de tes nombreux fans et sympathisants, seul le poste de Vice-Président de la République du Sénégal sied à votre envergure politique au sein de majorité pour l’instant. 

Donc, plus de tergiversation ni de doute, DER ALT (Le Vieux) n’aura pas le choix et le temps presse. 

Ceci étant précisé, votre contribution très pertinente sur un sujet d’actualité qu’est la loi sur la mendicité a fait tâche d’huiLe. 

Comme à votre habitude, et en parfait homme d’Etat, vous avez fait une lecture lucide avec une bonne segmentation politique et sociologique car ayant une connaissance profonde de nos réalités intrinsèques. 

Vous faites preuve de discernement en ’’évitant l’amalgame voulant condamner l’enseignement coranique qui n’aurait comme corollaire que l’exploitation, la maltraitance et la mendicité’’ et soulignez l’aspect éminemment positif que joue l’enseignement coranique en terme de complémentarité par rapport à l’enseignement dit « formel ». 

Vous êtes allé en profondeur, ne se contentant pas d’être superficiel et en proposant des pistes de réflexion pouvant aboutir à une meilleure prise en charge de cette question épineuse et douloureuse. 

Etant profondément républicain par ailleurs, vous saluez et encouragez le gouvernement du Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye dans sa croisade contre ce fléau des temps modernes. 

Votre seconde sortie a eu lieu le jour de la Korité comme l’on si attendait d’ailleurs et c’est devenu une sortie solennelle que j’assimile à un message à la nation. 

Une sortie courageuse à l’image de l’homme de refus que vous êtes. 

A l’heure où toute la mouvance courbe l’échine et ferme les yeux sur les souffrances innommables et innombrables des populations, vous rappelez que vous êtes et restez debout à côté justement de cette population dite fébrile et laissée à elle-même. ceux qui connaissent l’homme, ont senti votre souffrance indescriptible face à la « dé-structuration » organisée de notre tissu socio-économique aggravée par des scandales récurrents et par un manque de Leadership alternatif. 

QUOI QU’ON DISE,ILS AURONT BEAU VOCIFERER ET GESTICULER OU S’EGOSILLER ,L’HISTOIRE RETIENDRA QUE VOUS ETES ARRIVE DEUXIEME A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2007 DERRIERE CELUI QUE CERTAINS ONT ASSIMILE A DIEU. 

 VOUS COMBATTRE,EQUIVAUDRAIT A COMBATTRE UN DECRET DIVIN EMANANT DE ALLAH-LE-TOUT-PUISSANT. 

 Je profite enfin de cette occasion pour implorer le pardon à tout ceux qui à travers mon blog ce sont sentis offensés ou visés par mes propos partisans. 

 Croyez que vous êtes tous pardonnés et prions ALLAH pour qu’il accorde une longue vie et une santé de fer afin de pouvoir participer à l’effort de construction nationaLe à côté de notre leader LE PRESIDENT IDRISSA SECK

DEWEENATY. 

BIEN A VOUS. 

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BIENFAITS ARRÊT DU TABAC

Posté par idy012 le 31 juillet 2010

smoke.jpgSTOP TABAC!!
  Les bénéfices de l’arrêt du tabac interviennent presque immédiatement après la dernière cigarette :
- 8 heures après la dernière cigarette la quantité de monoxyde de carbone dans le sang diminue de 50%.
- 24 heures après la dernière cigarette le corps ne contient plus de nicotine.
- 48 heures après la dernière cigarette les terminaisons nerveuses gustatives commencent à repousser.
- 72 heures après la dernière cigarette les bronches commencent à se relâcher.
- 2 semaines à 3 mois après la dernière cigarette la toux et la fatigue diminuent.
- 1 à 9 mois après la dernière cigarette les cils bronchiques repoussent
- 1 an après la dernière cigarette le risque d’infarctus du myocarde diminue de moitié et le risque d’accident vasculaire cérébral rejoint celui d’un non-fumeur.
- 5 ans après la dernière cigarette le risque de cancer du poumon diminue presque de moitié.
- 10 à 15 ans après la dernière cigarette l’espérance de vie redevient identique à celle des personnes n’ayant jamais fumé.
 

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THIAT

Posté par idy012 le 20 avril 2010

idywade1.jpgTAALIPHANE THIAT,MAALIPHANE THIAT…

SAYE DAANE SALAAKHANE LATHE!

Bismilahi thiat, Rahmani thiat, Rahimi Lah!

L’entame de mes propos renseigne sur mes voeux les plus ardents de voir enfin aboutir les retrouvailles de toute la famille Libérale,autour de son Secrétaire National,par ailleurs, Chef de l’État de notre si cher SENEGAL.

Selon certains échos relayés par une certaines presse,Idrissa SECK qui a été reçu 2 fois de suite la semaine dernière par le Président de la République, serait sur le point d’être officiellement nommé Ministre d’Etat,Conseiller Spécial du Chef de l’Etat ou conseiller tout court.
Justement,nous nous refusons à cette interprétation qui entretien les germes de la division.
Il s’agit dès maintenant de faire bloc autour de l’essentiel.
Cet essentiel reste la constante ABDOULAYE WADEqui demeure le noyau autour duquel,les satellites  gravitent avec un orbite bien défini.

Le bloc-équipe semble en effet se mettre en place avec la formalisation effective des retrouvailles entre Le président Abdoulaye WADE et l’un des ses fils, en l’l'occurrence, Idrissa SECK.

Nulle est mon intention de revenir sur le passé chargé négativement et positivement.Nous l’invoquons uniquement dans le but de nous baliser une nouvelle voie pour les actions futures et ce,dans l’intérêt exclusif du pays.

On ne se lasserait de le répéter,l’horizon 2012 se profile immanquablement et l’opposition qui est de plus en plus organisée, il nous faut faire preuve d’imagination et de créativité pour barrer la route aux marchands d’illusions.
Rien ni personne ne doit être négliger.

Des alliés de l’Alliance Sopi pour Toujours en passant par les nouveaux convertis, tout le monde a sa partition à jouer sous la houlette d’un expert politique.

Accepter un leadership au sein du PDS est d’une absolue nécessité si l’on souhaite maintenir les acquis de ces 10 dernières années et parachever l’oeuvre gigantesque et formidable entamée par Le MAÎTRE,SECRÉTAIRE NATIONAL DU PDS, Son Excellence ABDOULAYE WADE.

20 avril 2010

L’UNION SACRÉE
Mamadou Alassane WAGUE

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LE ROULEAU-COMPRESSEUR SOPI EN MARCHE!

Posté par idy012 le 5 novembre 2009

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DAKAR le 05 novembre 2009

 LE ROULEAU-COMPRESSEUR SOPI EN MARCHE

J’entame d’abord mes propos par l’expression d’un vif remerciement à l’endroit du Chef de l’Etat Sénégalais, son excellence MAITRE ABDOULAYE WADE par ailleurs, Secrétaire National du Parti Démocratique Sénégalais, pour avoir compris qu’il ne faut jamais « scier la branche sur laquelle, on est assis ». 

En parfait Homme d’Etat, auréolé d’un excellent et brillant parcours politique, il a su faire « la part des choses » au moment opportun.

Par l’acte de la réconciliation posé à THIES ce 04 novembre 2009, il vient, une fois de plus, de démontrer tout son génie politique. En effet, ce retour officiel, sonne le glas de l’opposition qui se délectait d’une prétendue « déconfiture » du SOPI;encouragés en cela, par leur pseudo-victoire des Locales et divers « affaires » relayées par une certaine presse avide de sensationnel! 

EH OUI! c’est la fin de la RECREATION

 La vraie bataille vient d’être lancée. Imaginons toute la famille libérale avec ses Alliés stratégiques de la CAP 21(le coordonnateur et Professeur IBA DER THIAM Lauréat du prestigieux Prix UNESCO 2009 que je félicite au passage) autour du MAITRE en direction de 2012!!! 

LE ROULEAU COMPRESSEUR EST EN MARCHE! 

Je ne reviendrai pas sur l’absolue nécessité d’UNION déjà théorisée et prônée dans mes articles précédents, j’attire simplement l’attention des responsables du Parti qu’il faut absolument prendre en compte « le type de militant nouveau » incarné par des citoyens à l’image de ma modeste personne, et qui ont fait siennes, les vertus du WADISME à travers le prisme IDRISSA SECK Ne point commettre l’erreur du  » Partisanisme« . 

L’idée des retrouvailles vient d’être portée sur les fonds baptismaux par le MAITRE, matérialisée par le DISCIPLE, reste maintenant à tous ceux qui veulent le Bien de ce cher SENEGAL, à s’aligner afin réussir le pari de donner à MAITRE ABDOULAYE WADE la plus belle des victoires du SOPI en 2012! 

Mamadou Alassane WAGUE 

 Administrateur  MATTNA

http://idy012.unblog.fr 

Alwa6076@hotmail.fr 

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BACK TO MY ROOTS

Posté par idy012 le 26 octobre 2009

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Tel est le titre de ma réaction après avoir pris connaissance des derniers développements liés aux retrouvailles entre Idrissa SECK et Abdoulaye WADE à travers le journal en ligne rewmi.com
Le retour de l’enfant que l’on découvre finalement,prodige!
L’ex-enfant banni,humilié,torturé moralement et physiquement éprouvé a fini par convaincre.
Convaincu qu’il a été le seul à être au début et milieu de toutes les luttes menées par son mentor Maître Abdoulaye WADE.
Convaincu de son immense talent politique, de la pertinence de ses choix et de ses options.
Convaincu qu’en dehors de son sphère,il n’existe point de salut pour le giron libéral et par extension,pour notre cher Sénégal.

Monsieur le Secrétaire national du PDS juge enfin nécessaire de le laisser parachever l’oeuvre déjà entamée.

Nul n’est besion  d’être « savant » pour comprendre et admettre que Idrissa SECK est l’un des Homme d’Etat qui ne se manifeste qu’une seule fois par siècle.
Mes propos n’ont absolument  rien d’un « revanchard »,bien au contraire,l’heure est à la remobilisation, au reserrement des rangs en vu des échéances futures.

Mais pour ce faire, il est nécessaire d’accepter un leader incontesté.
Accepter son coaching et son managment équivaudrait à sauver ce qui peut encore l’être dans l’espoir de reconquérir le coeur meurtri des militants et concitoyens.

D’ailleurs,le « tohu-bohu » libéral a été constaté depuis sa mise à l’écart.

Dans toute organisation que se veut crédible et pérenne,il faut nécessairement la combinaison de plusieurs facteurs dont deux me sembles indispensables: UN CHEF au sens rigoureux du terme et être un DIRIGEANT humaniste en d’autres termes.

Enfin, ce pays a besoin d’être réhabilité, éduqué et remis en orbite.

Vivement la réconciliation de la famille Libérale!

Mamadou Alassane WAGUE

 

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DAFFA DOY!!!

Posté par idy012 le 26 septembre 2009

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Merci chers Reader_online, de me pardonner tout ce temps resté sans ré-actualiser ce blog,bref, sans emettre un point de vue sur ce qui se passe dans notre cher Sunugal.

cette position attentiste,m’a été dicté par les pourparlers en cours entre mon mentor Idrissa Seck REEWMI et Maître Abdoulaye Wade.

A la lecture de ce qui se dit dans la presse,la rupture est désormais consommée entre les deux formations politiques.
Cependant, aucune position officielle ne m’est encore parvenue de part et d’autre qui puisse m’édifier ou motiver ma réaction personnelle qui, je le rappelle, n’engage que ma responsabilité.

Il est heureux de constater que le PDS n’existe que nom (es-ce que le fait d’envisager le changement d’appellation pourrait avoir un impact quelconque?J’en doute…) du fait qu’ils ont battu tous les records en matière de mal-gourvernance sous tendu par des dérives innommables,tant sur le plan politique, économique que social.

Ce régime peine à trouver une solution ne serait-ce que dans le court terme,aux multiples souffrances des Sénégalais.

N’ayant pas fini d’étaler leur incurie et leur incapacité,ce régime verse présentement dans la sénilité; car comment imaginer que la dévolution du pouvoir puisse s’opèrer autrement que par la voie démocratique.

Je n’ai rien contre le sieur Karim Wade qui est et demeure un sénégalais jouissant de ses droits civiques et doté de compétences avérées.
Cependant, »renvoyer » Idy vers Karim pour « aplanir » leurs divergence, condition préalable à un hypothétique retour dans le giron Libéral, me semble relever d’une injure.

Encore une fois,je ne me lasserais jamais de le dire,Idrissa Seck ne « boxe » pas dans la même catégorie que l’Autre.

Encore une fois,exercer la politique au Sénégal,n’est pas à la portée de n’importe qui,fusse-t-il le fils du Président.

On s’imaginerait jamais Idrissa Seck, auréolé de son brillant parcours politique,se ranger derrière un leader politique.
Ce serait INACCEPTABLE!

C’est un leader né, ayant toutes les compétences requises pour sortir le sénégal du gouffre dans lequel il se trouve présentement.

On s’achemine lentement mais inéluctablement vers 2012 et idy doit se mettre en tête, qu’il reste et demeure toujours présent dans le coeur de beaucoup de nos compatriotes sénégalais d’ici et de la diaspora, qui ont la forte conviction qu’il est l’homme de situation.

Par conséquent,on l’invite à ne pas se focaliser sur le « gisement naturel » constitué du noyau PDS et ses « satélites ».Il doit sortir de son mutisme et remobiliser afin raviver la flamme militante.

Bigmeums

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DECRYPTAGE

Posté par idy012 le 6 avril 2009

Les réactions n’ont pas manqué suite au discours du Chef de l’Etat tenu la veille de la commémoration de notre accession à l’indépendance. Cet adresse à la nation liée à un calendrier républicain, intervient dans un contexte particulier: C’est le premier discours post-électoral.

Un discours empreint de sincérité, n’en déplaise aux nihilistes de la trempe de Moussa SARR (Ligue Démocratique) et ses acolytes.

Le chef de l’état entame son discours par un vibrant hommage rendu à nos émérites et vaillants aïeuls sans qui, notre cher SENEGAL ne serait ce qu’il représente sur la scène internationale, Maître WADE, par sa voix exprime, la reconnaissance éternelle du peuple à nos valeureux résistants qui ont dit NON à l’asservissement colonial. Sans omettre les pères fondateurs de notre ETAT qui ont jeté les fondements de notre organisation politique, économique et sociale.

Tirant ses conclusions de la situation politique et sociale post-électorale, le chef de l’Etat annonce de grandes mutations avec une priorité affectée à la satisfaction de la DEMANDE SOCIALE et à un « besoin de changement réel dans la gouvernance ».L’OPPOSITION est mise face à sa responsabilité suite à son appel à la cohésion dans l’intérêt exclusif de la nation.

Beaucoup d’efforts ont certes été consentis hélas, impactés par une crise énergétique et financière dont nous subissons encore les contre-coups.

Le président a davantage acquis « la conviction qu’il doit écouter les populations, faire plus et mieux ».

Je le crois sincère lorsqu’il dit avoir compris la sens du vote de la population et « érige » en sur-priorité sa politique en direction de la JEUNESSE, parce que je cite : « mesurant pleinement leurs attentes et leur espoirs en matière d’éducation, de formation et d’emploi ».

Son excellence Maître Aboulaye WADE insiste sur l’éducation et la formation qui occupent une place prépondérante pour un mieux-être de ce segment essentiel de notre population car étant à cheval entre le présent et le futur.

Les décideurs de demain, c’est à mon avis, une jeunesse saine de corps et d’esprit, intelligente et bien formée sachant décrypter la moindre mutation afin de mieux appréhender les défis de son temps.

Pour ce faire, le président compte sur toutes les forces vives de ce pays, principalement les ENSEIGNANTS qui demeurent au cœur du dispositif.

La poursuite du dialogue entre tous les acteurs ( Etat, enseignants, élèves, parent d’élèves, etc..) de l’école est un impératif pour espérer compter parmis les nations émergentes.

Il faut être animé d’un esprit de sacrifice soutenu par un patriotisme sans faille pour relever ce défi.

Il annonce précisément dans le domaine de l’emploi, des perspectives très intéressantes à court terme dont les plus en vues géographiquement parlant, sont concentrées au Sénégal oriental.

la création de l’Observatoire National de l’Emploi et des Qualifications professionnelles chargé de faire l’étude prévisionnelle des besoins et une évaluation des statistiques recueillies afin de cerner définitivement cet épineux problème qu’est le CHOMAGE, est, à mon sens, une très bonne initiative.

En effet, effectuer des études préalables sur le sujet pour avoir une meilleure visibilité des actions à entreprendre afin de mieux asseoir des actions pérennes, me semble nécessaire.

Sur le plan énergétique, les projections sont plus que lumineuses. Je ne m’étendrais pas sur le sujet sachant que ce secteur vital est au cœur de toutes les priorités.

En bref, l’espoir est permis.

Mamadou Alassane WAGUE

bigmums76@yahoo.fr

http://idy012.unblog.fr

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LA CAUSE EST ENTENDUE.

Posté par idy012 le 3 avril 2009

Son excellence, Maître Abdoulaye WADE, Président de la République du Sénégal par ailleurs, Secrétaire national du PDS a, me semble-t-il, répondu favorablement à ma quête d’unité élargie à l’ensemble de la mouvance présidentielle.

En effet, à en croire le sérieux « quotidien » de la place, l’annonce du retour de Monsieur Idrissa SECK faite hier en conseil des ministres, est la meilleure réponse face à ceux qui se délectent encore d’une pseudo-défaite de la coalition Sopi. En ayant l’intention de déléguer la direction politique du PDS ,WADE lance non seulement un signal fort en direction de l’opposition mais aussi à tous ceux qui partagent sa vision. L’union fait la force à t-on coutume de dire. Et c’est d’autant plus vrai vu le contexte actuel. Je l’ai dit et le redit encore : la retrouvaille de la grande famille libérale est plus qu’une nécessité, elle est vitale et inéluctable si l’on veut parachever l’œuvre et les ambitions nobles déjà entamés par le président de la république. Il nous faut donc trouver un consensus autour de quelqu’un qui soit capable de redorer le blason du SOPI « manaam kou dëgge daathe ».

Disposant de tous les Curriculum Vitae remis à jour, le président est à même de sélectionner le meilleur profil requis pour ce poste hautement stratégique.

Espérons que le choix se fera sur des critères objectifs et par une sélection rigoureuse qui fera apparaître les contours de celui qui fera l’affaire.

L’espoir doit renaître pour les sénégalais.

Ayant déjà prouvé sa résistance à l’échec et sa combativité, Idy dispose en outre d’atouts majeurs:

1/ Etant l’un des rares candidats à pouvoir faire l’unanimité au sein du parti eu égard à son background, sinon, à pouvoir fédérer la majorité présidentielle autour de sa personne.

2/ Ayant le faculté à concevoir et à réaliser un plan d’action stratégique qui permettra de développer un cadre de réflexion pour une meilleure appréhension des missions et orientations à venir au sein de la mouvance présidentielle.

3/ Ayant une capacité d’organisation et un sens du contact inégalable.

Néanmoins ,il se devra d’intégrer deux facteurs essentiels pour mener à bien ses futures fonctions que sont : DISPONIBILITE ET FLEXIBILITE

L’enjeu pour le chef de l’Etat est double: Redonner espoir aux millions de Sénégalais et léguer à la postérité l’image d’un Homme d’Etat ayant écrit en lettre d’or, l’une des belles pages de notre histoire contemporaine.

UN POUR TOUS,TOUS POUR UN.

Mamadou Alassane WAGUE

MA PENSEE

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RE-POST OU RIPOSTE?

Posté par idy012 le 2 avril 2009

10000181p.jpgSPECIAL THANKS à « DEUM BI » ET « LE PATRIOTE » sans oublier Makhète, Chifo ,The DON,AssDiouf,Madiama et à tous ceux qui participent d’une façon ou d’une autre à ce blog ouvert au débat d’idée contradictoire mais instructif et constructif. NO LIMIT.

Heureusement vous avez emprunté le terme « Accusé ».N’étant point juriste, il me semble qu’il existe un principe sacro-saint en droit qui dispose que toute personne accusée est présumée innocente et ce,jusqu’à ce qu’un tribunal établisse la preuve de sa culpabilité. Que je sache ,DAME JUSTICE s’est en partie prononcée sur ces prétendues malversations dont il me paraît inutile d’y revenir ,car cet histoire est déjà finie. L’histoire retiendra que IDY a vaincu une horde de diffamateurs ,de dénonciateurs, de calomniateurs et de délateurs. Nul n’est mon intention de remuer le couteau dans la plaie;le seul maître-mot reste:L’ UNITE.
Seulement, il faut avoir l’honnêteté intellectuelle de reconnaître que Idissa SECK a le profil de la charge. Nous ne mettons pas en doute la compétence des leaders de l’opposition dite « significative », seulement, le temps est venu de céder la place à une jeunesse audacieuse et porteuse d’idées novatrices adaptées au contexte actuel. Nous devons faire face à cette forme de contestation qui privilégie un discours radical du genre « NA DEM NA DEMADEMA DEM ».Certes, l’actuel occupant du palais Roume quittera bien le pouvoir un jour ou l’autre, mais qui de l’opposition ou du camp Sopiste aura les coudées franches pour la succession prévue en 2012?
 » CLEAN » doit être le potentiel successeur, je suis tout à d’accord avec vous. Un homme PROPRE « SET WEECC » comme  » LIRR BOUY DOGUA DIOUDOU » dites-vous!!!
Ce serait l’idéal.
Malheureusement « L’IDEAL » n’existe pas en ce bas monde. Le PARFAIT s’assimile au Divin.On est d’avis qu’il faudra désormais exercer cet activité ( politique ) AUTREMENT en intégrant le facteur HUMAIN qui sera au centre de toute décision.
Mon mentor n’est pas le messie ,il incarne de par son parcours, le courage et la dignité , victime certes de ses ambitions incomprises car non assimilable par un non initié. Etre exempt de reproches n’est pas le seul critère requis pour occuper la station suprême;des facteurs endogènes/exogènes entrent aussi en lice et qui se dévoileront au fil du temps. Le respect mutuel doit primer sachant que tous ceux qui s’agitent, le font pour le bien exclusif du pays.
Les forces en conflit ont en commun la redoutable tâche à trouver un profil consensuel autour duquel, tous les militants feront bloc d’ici 2012.L’appel que nous lançons en direction du Secrétaire National du PDS par ailleurs, parrain de la Coalition Sopi est celui-ci : LE CHOIX JUDICIEUX DANS L’UNITE.
PEUNDEU BI WOURI NA,LEEPE LEER NA KHAM NAGNOU LEGUI KAAN MOY KAAN.
Mamadou Alassane WAGUE

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